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Can you tell us about freetouring?
Clément:
"Freetouring is the antithesis of ski tourers in super-tight clothing
with hydration systems in their rucksacks. There's a bit of uphill
on climbing skins but it's mostly about the downhill. A kind of
missing link between the hard-core ski tourer and the freerider.
Here, it's more baggy than figure hugging, with a much wider ski."
Pouvez-vous nous parler de la freerando ?
Clément :
"La freerando, c'est l'anti "collant-pipette". C'est un peu de montée
en peaux de phoque pour beaucoup de descente. Une sorte de
chaînon manquant entre le randonneur pur et dur et le freerider.
Ici, c'est plutôt baggy que tenue moulante, avec une taille de skis
bien plus large."
What trends are emerging around
the discipline?
Nicolas:
"It's a trend that's here to stay. It's part of the movement towards
freer ways of skiing. On the market, gear is being adapted with
the arrival of splitboards and switchable boots with soles for
walking. All gear has followed the trend... except ski goggles!"
Que peut-on dire de cette nouvelle discipline ?
Nicolas :
"C'est une tendance lourde. Elle correspond à des pratiques de ski
plus libres. Sur le marché, le matériel s’est adapté avec l’apparition
de splitboards ou de chaussures de ski débrayables avec semelles
pour la marche. Tout le matériel a suivi le mouvement…sauf les
masques de ski !"
How did you come up with the idea
for the Aerospace?
Clément:
"I've been passionate about skiing and snowboarding for 35 years
and freeriding for the last 10. With my friends, when we went
looking for virgin slopes we noticed we were spending more and
more time carrying our skis. When you're going up like that, if you
keep the goggles on your face, the fogging gets really bad. And if
you put the goggles on your forehead, you're not protected from
the sun or glare. There had to be something we could design to
improve on that!"
Comment vous est venue l'idée de l'Aerospace ?
Clément :
"Je suis passionné de ski et de snowboard depuis 35 ans et freerider
depuis 10 ans. Avec mes potes, pour aller chercher des pentes
vierges, on s'est aperçu que l’on montait de plus en plus en portant
nos skis. Or, dans ces montées, si l'on garde le masque sur le visage,
on a un max de buée. Et si l'on met le masque sur le front, on n'est
pas protégé du soleil ni de la réverbération. Il y avait quelque chose
à créer pour améliorer tout ça !"
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